Bonjour à tous et toutes,
Ce message pour vous rappeler que je suis beaucoup plus présente sur Instagram et Facebook
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4 janvier 2023
Bonjour,
Comment allez vous bien ?
Comment cela pourrait-il aller mieux pour vous ?
Qu’est ce qui pourrait changer en mieux ?
Qu’est ce qui devrait changer en mieux en vous pour que tous vos domaines de vie collent de mieux en mieux et soient en harmonie ?
Car tout changement extérieur provient d’un changement intérieur.
Eh bien, en ce début de nouvelle année, comme chaque année, nous avons plein d’espoirs, d’espérances, de désirs, mais aussi des craintes, des doutes, des incertitudes.
Et c’est l’opposition entre ces deux forces qui déterminent la causalité finale de votre année.
C’est pourquoi, en ce début d’année où l’incertitude extérieure est de mise, je vous envoie mes meilleurs ondes positives pour que vous puissiez être alignés en permanence avec votre être profond.
Catherine
16 août 2020
Sécheresse, rougeurs, petits boutons…
Votre peau n’est pas habituée au port du masque et vous le fait savoir.
Mais pour chaque problème, il y a une solution naturelle !
Sécheresse
Le problème : les frottements répétés du masque sur la peau fragilisent la barrière cutanée, ce qui favorise les pertes en eau des couches supérieures de l’épiderme.
Solution : des soins et des compléments pour hydrater et des huiles végétales pour nourrir.
- huile végétale de noix de coco
- Aloé Vera
- huile végétale de jojoba
- gélules d’huile de bourrache
Rougeurs et irritations
Le problème : des inflammations peuvent apparaître au niveau des points de contact du masque sur la peau : arrête du nez, menton, et pommettes.
Solution : des soins pour apaiser, des huiles végétales pour nourrir (le chanvre est particulièrement indiqué pour les peaux à problèmes) et des baumes pour cicatriser.
- crème au calendula – Weleda
- huile végétale de chanvre
Acné et petits boutons
Le problème : le port du masque favorise l’occlusion, l’accumulation de chaleur et la macération de la peau. Il établit ainsi un terrain favorable au développement de la flore cutanée.
Solution : des compléments, des soins et des huiles pour lutter contre la prolifération microbienne, la surproduction de sébum et l’obstruction des pores.
- huile essentielle de tea tree,
- huile végétale de Neem,
- Complexe peau nette (Orfito) boite de 30 comprimés
12 juin 2020
SOIGNER ET PRENDRE SOIN
« Dans l’attitude du prendre soin, l’essentiel est d’entrer en relation »
Il existe deux approches des pratiques médicales :
soigner et prendre soin.
Quand un praticien soigne, il creuse toutes les solutions pour traiter la maladie et fait appel à ses compétences techniques.
Quand il prend soin, il vise à soulager les symptômes, cherche à diminuer la souffrance et favorise l’autonomie de la personne fragilisée.
5 mai 2020
Désolée pour la qualité de l’image, j’ai filmé ma télévision
cliquez sur ce lien pour visionner la vidéo
22 avril 2020
Musique & texte : HK
Refrain :
Elles se battent pour les autres
Ils se battent pour les autres
Elles se dévouent pour les autres
Ils se dévouent pour les autres
Pour leur honneur et pour le nôtre
Couplet 1 :
Voilà enfin venu le jour Où on les applaudit Aux petits soins Aux grands secours Elles protègent la vie Soigner les gens, petits ou grands Elles en ont fait le serment Depuis dix jours, depuis mille ans Depuis l’aube des temps En pleine nuit Le souffle court Sur la corde raide Elles s’oublient Eles accourent Quand Quelqu’un crie à l’aide Et quand elles n’auront plus d’ailes Qui viendra les sauver Qui se dévouera pour elles Comme elles l’ont toujours fait
Couplet 2 : On les aime On les admire Mais voilà qu’elles réclament Qu’on les aide À nous guérir Et Soudain c’est le drame Des masques et des gants pour faire face Demandent-elles la lune ? En première ligne et sans défense Ô comble d’infortune Rendons nous compte C’est une honte Comme on les expose On les essore Un peu plus fort Jusqu’à l’overdose Et quand l’une d’elle, un jour, se plaint Le Président réplique : « Il n’ y a plus de moyen Pour l’hôpital publique »
couplet 3 : Il y aura un jour d’après Il y aura demain On y sera Nous sommes prêts Et de nos propres mains Nous bâtirons un monde où règne L’entraide et le secours Où celles qui soignent et qui enseignent Recevront chaque jour Le protection qui leur est due Notre reconnaissance Que leur vocation Ne soit plus La cause de leurs souffrances Au crépuscule d’Avril Qu’enfin les choses changent Que l’on ne mette plus en péril La santé de nos anges
14 mars 2020
11 mars 2020
Les industries pharmaceutiques connaissent depuis longtemps ce pouvoir quasi illimité de l’autosuggestion à la fois du patient et du soignant puisque les essais scientifiques comparatifs sont réalisés avec des flacons de produits codés afin d’éliminer toute influence psychique lors des expériences sur le vivant.
Au niveau des tests statistiques sur les malades-cobayes, l’on parle d’essais en double aveugle ou d’essais « randomisés ». Ceci veut dire que ni le soigné ni le soignant ne savent s’il s’agit d’un vrai remède ou d’un leurre.
Et, de fait, on note toujours un pourcentage de malades qui connaissent des améliorations ou carrément des guérisons avec des cachets d’amidon ou des ampoules d’eau distillée.
Ceci implique qu’avec des produits inefficaces – voire toxiques – des personnes, grâce à leur foi totale dans leur médecin et dans le remède, guérissent contre toute logique, et comme le clamait Molière, « surmontent à la fois la maladie et le médicament ».
Ici, c’est l’inverse. On est dans la croyance négative.
De la part du malade, ce peut être parce qu’il n’a pas confiance dans le soignant, ou parce qu’il ne croit pas au remède, ou parce que sa croyance est dans une fatalité morbide, ou encore parce que son intérêt réel ne réside pas dans la guérison, ou enfin parce que son chemin d’évolution passe par une épreuve de souffrance choisie par son Maître Intérieur.
Du côté du soignant, il est évident que si celui-ci voit son patient déjà mort, ou du moins dans une impasse sans issue classée dans les maladies dites inguérissables (il y en a même qui le disent sans ménagement), il devient l’exécuteur d’un « homicide par nocebo ».
En tout état de cause, il faut bien admettre que, lorsque dans le couple soigneur-soigné, l’un fait du placebo pendant que l’autre fait du nocebo, c’est une sorte de partie de bras de fer psychique – et… que le meilleur gagne !
Vous pouvez difficilement imaginer ce que l’on peut faire avec des croyances.
Tous les cours de développement personnel, que ce soit dans le domaine de la réussite professionnelle, des sports de haut niveau, de l’auto-guérisson, de l’amour ou de la prospérité en général, convergent sur un théorème de base :
L’imagerie mentale est déterminante dans tout processus de concrétisation.
Souvent, nous obtenons l’inverse de ce que nous recherchons. La raison est très simple. Nous programmons instinctivement, dans notre imagerie mentale, la scène de notre peur, de notre doute, de notre rejet, de notre échec. Notre ordinateur interne prend cela pour un ordre et… le réalise.
Exemple : Je souhaite bien dormir, mais je redoute le bruit parce que je me suis fabriqué un programme comme quoi le moindre bruit me réveille. Et ça marche. Il me suffit de corriger mon programme et de commander à mon ordinateur interne d’effacer les bruits éventuels en affirmant que je suis insensible aux bruits quand je dors.
Il suffit d’essayer pour être convaincu.
Lorsqu’il s’agit d’une tumeur, d’un kyste, ou toute excroissance à supprimer, l’imagerie mentale peut agir avec la même efficacité :
Il suffit d’imaginer un solvant puissant qui dissout sélectivement les tissus atypiques. Il faut minutieusement distiller ce solvant à l’aide d’un compte-gouttes à la surface de la formation tumorale. Celle-ci va fondre à la manière d’un morceau de sucre dans le café.
À la fin de l’exercice, on doit visualiser très clairement les tissus parfaitement nets et débarrassés de l’excroissance. Bien sûr, cet exercice, d’une durée d’une ou deux minutes environ, doit être réitéré 2 fois par jour jusqu’à obtention de résultat.
Afin d’atteindre une efficacité maximum, il convient d’effectuer au préalable un exercice simple de mise en état sophronique alfa. Pour cela, on peut, en fermant les yeux, essayer de fixer un point au-dessus de la racine du nez pendant 2 minutes (au chrono). Il faut en fait regarder en l’air en louchant. Ceci est une botte secrète pour mettre rapidement le cerveau en onde alpha, état particulier qui donne accès au pouvoir intérieur par l’intermédiaire des ganglions para-vertébraux. Une mise en condition réflexe peut même être déclenchée par la suite, en accompagnant l’exercice d’un fond musical spécialement choisi, ou d’un parfum spécifique pour la circonstance (essence ou encens).
Enfin, lorsqu’il s’agit d’un problème interne, on a tout intérêt à consulter un bon atlas anatomique afin de bien se représenter l’image du site physiologique d’intervention.
Rappelez-vous que le taux vibratoire de la planète augmente sans cesse et de plus en plus vite. C’est un peu comme votre ordinateur quand il passe de 512 Mbits à 1024 – le rayonnement de la pensée augmente en conséquence dans le sens positif (régénération, guérison) comme dans le sens négatif (destruction). Ce qui marchait déjà bien dans le passé marche d’autant mieux maintenant.
À vous de jouer…
(source : Michel Dogma)
13 janvier 2020
La fin de vie : s’informer pour en parler
Le MOOC « La fin de vie : s’informer pour en parler » a été conçu pour un large public : professionnels de santé (qu’ils soient confrontés ou non à des situations de fin de vie), patients, proches, aidants, bénévoles, associations, etc.
Il ne vise pas à former des spécialistes de la fin de vie. Son objectif est de transmettre des informations factuelles, décrivant de façon précise le contexte législatif, les ressources à disposition en matière d’accompagnement en fin de vie, en particulier les ressources en soins palliatifs, quelques données médicales simples permettant à chacun de se repérer face à un symptôme et de réagir de façon plus éclairée, et tout autre élément permettant de faciliter le dialogue avec un proche malade, un patient ou dans le cadre d’un débat citoyen.
Pour cela, le contenu du cours s’articule autour de trois axes : le premier est mettre à disposition une information complète sur les droits et aides relatifs à la fin de vie en Francee ; le deuxième est d’aider à mieux comprendre les enjeux de la fin de vie en France et à l’internationals ; le troisième est de donner des clefs pour dialoguer avec les autres sur ce sujet que l’on soit patient, proche, médecin ou autre soignant..
11 août 2019
Toucher et être touché, c’est plus qu’un besoin biologique.
Au travers du toucher, nous pouvons aussi percevoir des émotions chez l’autre et lui apporter du soutien, du réconfort, de l’affection…
Toucher et être touché par les personnes que l’on aime, c’est plus qu’un besoin biologique.
C’est une part de notre langage qui nous permet de nourrir des besoins émotionnels et de valider l’affection.
D’éloigner les peurs, et de favoriser la sécrétion d’ocytocine. Lorsque l’on manque de cette proximité physique avec les autres, cela augmente les niveaux de stress. Et intensifie le mal-être physique.
La peau est notre organe sensoriel le plus étendu. Le toucher, de son côté, est le premier sens que nous acquérons avec l’odorat. Nous savons, de plus, que des pratiques comme le contact peau à peau avec les bébés (surtout auprès des prématurés) favorisent la structuration somatosensorielle de leurs cerveaux et optimisent ainsi leur développement cognitif, perceptif, social, mais aussi leur développement physique.
Les êtres humains, de même que les animaux, ont besoin de ce contact, et pas uniquement lors des phases de développement les plus précoces. Par exemple, dans beaucoup de maisons de retraite, les personnes âgées qui reçoivent des câlins, des caresses et ce contact physique inscrit dans les gestes d’affection présentent de meilleurs processus d’attention et de communication. De plus, elles se sentent moins fatiguées, et ressentent même de moindres douleurs articulaires.
Notre cerveau a besoin de ce type de contact (toujours apporté par les personnes nous sont chères) pour trouver cet équilibre émotionnel grâce auquel, tout simplement, favoriser le calme psychologique. Or, la science découvre aujourd’hui une multitude de processus associés au toucher dont nous ignorions l’existence il n’y a encore pas si longtemps.
Nous avons besoin de toucher et d’être touché pour communiquer notre affection, pour aider, pour recevoir ou pour réconforter… Nous le savons depuis toujours et la science nous l’a prouvé empiriquement au fil du temps. Or, il y a un aspect plus intéressant encore que nous aimerions souligner.
Ce travail a acquis une telle transcendance que plus tard, il a de nouveau été mené à bien à l’Université de Miami. La docteure Tiffany Field, directrice de l’Institut de Recherche tactile de l’Université de Miami, en est arrivée aux conclusions suivantes.
Nous avons la capacité de donner, de recevoir et d’interpréter des signaux émotionnels au travers du toucher
Un physiothérapeute utilise ses mains non seulement comme outil de travail, mais grâce à elles, il peut aussi lire les préoccupations, les tensions et les émotions adverses intensifiant les contractures. Ces mains expertes apaisent les douleurs et améliorent également la mobilité. Elles ont aussi la merveilleuse capacité de nous transmettre du bien-être.
Le besoin de toucher et d’être touché va-delà du fait de manifester de l’affection. Evolutivement, nous avons aussi acquis la capacité de lire l’état émotionnel des autres au travers du toucher. Une telle chose nous permet, surtout, de pouvoir soulager une personne qui souffre au travers d’un câlin ou d’une caresse.
Il n’y a encore pas si longtemps, les neurologues pensaient que le cortex somatosensoriel nous permettait de décoder des qualités aussi basiques que le fait de savoir si une superficie est douce ou rugueuse, si sa température est élevée ou basse… Or, au fur et à mesure que nous avançons dans la connaissance du sens du toucher lié aux émotions, nous découvrons plus d’informations.
Cette zone de notre cerveau est aussi liée à des composantes sociales et émotionnelles. Par exemple, elle nous aide à percevoir la tension ou l’inquiétude chez nos enfants et à chercher à nous rapprocher d’eux en les prenant dans nos bras. Au travers de ce contact, nous leur apportons du réconfort, de la sécurité et notre affection.
Michael Spezio, psychologue du Scripps College et auteur de cette étude, nous signale que le fait de toucher ne se résume pas seulement à une expérience physique ; c’est une expérience émotionnelle et un type de langage. Il s’agit d’un mécanisme nous permettant aussi de comprendre l’autre et de lui répondre sans avoir besoin de parler.
Souvent, on entend dire qu’à l’âge adulte, on ne vit plus jamais autant d’expériences sensorielles au travers du toucher que dans l’enfance. Ainsi, des facteurs culturels et la façon dont nous avons été éduqués facilitent ou freinent notre capacité à mener ce type de communication au travers des caresses et des câlins à l’âge adulte.
On sait aussi que les sportifs, au sein de leur équipe, utilisent le toucher (une tape, une poignée de mains, une accolade) pour se soutenir à un moment donné entre co-équipiers. Ce sont des instants où ils ont besoin d’autre chose que d’un mot. Et ça fonctionne. Retrouver et favoriser ce type de langage est essentiel.
Car toucher et être touché va au-delà d’un besoin biologique. C’est un fondement social qui nous permet d’améliorer notre univers émotionnel.
Source : https://nospensees.fr/toucher-et-etre-touche-bien-plus-quun-besoin-biologique
4 janvier 2023
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