Auteur des archives | Catherine

À propos de Catherine

Vous êtes hospitalisé(e) ? en Centre de Rééducation, Maison de Retraite pour une longue durée ? vous êtes alité à votre domicile ? votre mobilité est réduite ? L'un de vos proches est hospitalisé et vous avez envie de lui offrir Quelques moments de réconforts ? Ayez le réflexe Socio-Esthétique : "La beauté-thérapie c'est prendre soin du regard que l'on porte sur soi" PeauAime c'est aussi le bien-être à domicile pour toute personne souhaitant prendre soin d'elle sans avoir à ce déplacer en institut, et ainsi, profiter en toute tranquillité d'un moment de "re-peau". OFFREZ VOUS LE LUXE DE VOUS FAIRE CHOUCHOUTER A LA MAISON ! Je dispense également des formations Socio-Esthétique (uniquement pour les adultes handicapés, usagés d'ESAT) enregistrée sous le N° d'activité 11 95 05318 95

Instagram – Facebook

4 janvier 2023

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Bonjour à tous et toutes,

Ce message pour vous rappeler que je suis beaucoup plus présente sur Instagram et Facebook 
(qui sont bien plus facile pour communiquer depuis mon téléphone)
Voici les liens pour m’y suivre :

https://www.instagram.com/peauaime

Facebook 

Mes voeux pour l’année 2023

4 janvier 2023

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Bonjour,

Comment allez vous bien ?

Comment cela pourrait-il aller mieux pour vous ?

Qu’est ce qui pourrait changer en mieux ?

Qu’est ce qui devrait changer en mieux en vous pour que tous vos domaines de vie collent de mieux en mieux et soient en harmonie ?
Car tout changement extérieur provient d’un changement intérieur.

Eh bien, en ce début de nouvelle année, comme chaque année, nous avons plein d’espoirs, d’espérances, de désirs, mais aussi des craintes, des doutes, des incertitudes.

Et c’est l’opposition entre ces deux forces qui déterminent la causalité finale de votre année.

C’est pourquoi, en ce début d’année où l’incertitude extérieure est de mise, je vous envoie mes meilleurs ondes positives pour que vous puissiez être alignés en permanence avec votre être profond.

Catherine

Port du masque : 3 astuces pour mieux le supporter

16 août 2020

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Sécheresse, rougeurs, petits boutons…
Votre peau n’est pas habituée au port du masque et vous le fait savoir.
Mais pour chaque problème, il y a une solution naturelle !

 

Sécheresse

Le problème : les frottements répétés du masque sur la peau fragilisent la barrière cutanée, ce qui favorise les pertes en eau des couches supérieures de l’épiderme.

Solution : des soins et des compléments pour hydrater et des huiles végétales pour nourrir.

- huile végétale de noix de coco
- Aloé Vera
- huile végétale de jojoba
- gélules d’huile de bourrache

 

Rougeurs et irritations

Le problème : des inflammations peuvent apparaître au niveau des points de contact du masque sur la peau : arrête du nez, menton, et pommettes.

Solution : des soins pour apaiser, des huiles végétales pour nourrir (le chanvre est particulièrement indiqué pour les peaux à problèmes) et des baumes pour cicatriser.

- crème au calendula – Weleda
- huile végétale de chanvre

 

Acné et petits boutons

Le problème : le port du masque favorise l’occlusion, l’accumulation de chaleur et la macération de la peau. Il établit ainsi un terrain favorable au développement de la flore cutanée.

Solution : des compléments, des soins et des huiles pour lutter contre la prolifération microbienne, la surproduction de sébum et l’obstruction des pores.

- huile essentielle de tea tree,

- huile végétale de Neem,

- Complexe peau nette (Orfito) boite de 30 comprimés

SOIGNER ET PRENDRE SOIN

12 juin 2020

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SOIGNER ET PRENDRE SOIN

« Dans l’attitude du prendre soin, l’essentiel est d’entrer en relation »​

 

Il existe deux approches des pratiques médicales :

soigner et prendre soin.
Quand un praticien soigne, il creuse toutes les solutions pour traiter la maladie et fait appel à ses compétences techniques.
Quand il prend soin, il vise à soulager les symptômes, cherche à diminuer la souffrance et favorise l’autonomie de la personne fragilisée.​

https://entrenosmains.mnh.fr/portrait2.php?utm_source=mnh&utm_medium=email2&utm_campaign=entrenosmains_episode2&utm_content=ep2

 

 

Reportage sur l’après Covid pour les esthéticiennes

5 mai 2020

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Désolée pour la qualité de l’image, j’ai filmé ma télévision ;-)

cliquez sur ce lien pour visionner la vidéo

HK – Pour Les Autres

22 avril 2020

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Musique & texte : HK

Refrain :

Elles se battent pour les autres

Ils se battent pour les autres

Elles se dévouent pour les autres

Ils se dévouent pour les autres

Pour leur honneur et pour le nôtre

Couplet 1 :

Voilà enfin venu le jour Où on les applaudit Aux petits soins Aux grands secours Elles protègent la vie Soigner les gens, petits ou grands Elles en ont fait le serment Depuis dix jours, depuis mille ans Depuis l’aube des temps En pleine nuit Le souffle court Sur la corde raide Elles s’oublient Eles accourent Quand Quelqu’un crie à l’aide Et quand elles n’auront plus d’ailes Qui viendra les sauver Qui se dévouera pour elles Comme elles l’ont toujours fait

Couplet 2 : On les aime On les admire Mais voilà qu’elles réclament Qu’on les aide À nous guérir Et Soudain c’est le drame Des masques et des gants pour faire face Demandent-elles la lune ? En première ligne et sans défense Ô comble d’infortune Rendons nous compte C’est une honte Comme on les expose On les essore Un peu plus fort Jusqu’à l’overdose Et quand l’une d’elle, un jour, se plaint Le Président réplique : « Il n’ y a plus de moyen Pour l’hôpital publique »

couplet 3 : Il y aura un jour d’après Il y aura demain On y sera Nous sommes prêts Et de nos propres mains Nous bâtirons un monde où règne L’entraide et le secours Où celles qui soignent et qui enseignent Recevront chaque jour Le protection qui leur est due Notre reconnaissance Que leur vocation Ne soit plus La cause de leurs souffrances Au crépuscule d’Avril Qu’enfin les choses changent Que l’on ne mette plus en péril La santé de nos anges

 

Reportage sur la socio-esthétique

14 mars 2020

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Il faut cliquer sur l’image pour lancer la vidéo :

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L’effet Placebo et l’effet Nocebo

11 mars 2020

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L’effet Placebo

Les industries pharmaceutiques connaissent depuis longtemps ce pouvoir quasi illimité de l’autosuggestion à la fois du patient et du soignant puisque les essais scientifiques comparatifs sont réalisés avec des flacons de produits codés afin d’éliminer toute influence psychique lors des expériences sur le vivant.
Au niveau des tests statistiques sur les malades-cobayes, l’on parle d’essais en double aveugle ou d’essais « randomisés ». Ceci veut dire que ni le soigné ni le soignant ne savent s’il s’agit d’un vrai remède ou d’un leurre.

Et, de fait, on note toujours un pourcentage de malades qui connaissent des améliorations ou carrément des guérisons avec des cachets d’amidon ou des ampoules d’eau distillée.
Ceci implique qu’avec des produits inefficaces – voire toxiques – des personnes, grâce à leur foi totale dans leur médecin et dans le remède, guérissent contre toute logique, et comme le clamait Molière, « surmontent à la fois la maladie et le médicament ».

Mais il y a aussi l’effet Nocebo

Ici, c’est l’inverse. On est dans la croyance négative.
De la part du malade, ce peut être parce qu’il n’a pas confiance dans le soignant, ou parce qu’il ne croit pas au remède, ou parce que sa croyance est dans une fatalité morbide, ou encore parce que son intérêt réel ne réside pas dans la guérison, ou enfin parce que son chemin d’évolution passe par une épreuve de souffrance choisie par son Maître Intérieur.

Du côté du soignant, il est évident que si celui-ci voit son patient déjà mort, ou du moins dans une impasse sans issue classée dans les maladies dites inguérissables (il y en a même qui le disent sans ménagement), il devient l’exécuteur d’un « homicide par nocebo ».

En tout état de cause, il faut bien admettre que, lorsque dans le couple soigneur-soigné, l’un fait du placebo pendant que l’autre fait du nocebo, c’est une sorte de partie de bras de fer psychique – et… que le meilleur gagne !

Vous pouvez difficilement imaginer ce que l’on peut faire avec des croyances.

L’imagerie mentale : clé des miracles

Tous les cours de développement personnel, que ce soit dans le domaine de la réussite professionnelle, des sports de haut niveau, de l’auto-guérisson, de l’amour ou de la prospérité en général, convergent sur un théorème de base :

L’imagerie mentale est déterminante dans tout processus de concrétisation.

Souvent, nous obtenons l’inverse de ce que nous recherchons. La raison est très simple. Nous programmons instinctivement, dans notre imagerie mentale, la scène de notre peur, de notre doute, de notre rejet, de notre échec. Notre ordinateur interne prend cela pour un ordre et… le réalise.

Exemple : Je souhaite bien dormir, mais je redoute le bruit parce que je me suis fabriqué un programme comme quoi le moindre bruit me réveille. Et ça marche. Il me suffit de corriger mon programme et de commander à mon ordinateur interne d’effacer les bruits éventuels en affirmant que je suis insensible aux bruits quand je dors.

Il suffit d’essayer pour être convaincu.

Guérir dans sa tête

Lorsqu’il s’agit d’une tumeur, d’un kyste, ou toute excroissance à supprimer, l’imagerie mentale peut agir avec la même efficacité :

Il suffit d’imaginer un solvant puissant qui dissout sélectivement les tissus atypiques. Il faut minutieusement distiller ce solvant à l’aide d’un compte-gouttes à la surface de la formation tumorale. Celle-ci va fondre à la manière d’un morceau de sucre dans le café.

À la fin de l’exercice, on doit visualiser très clairement les tissus parfaitement nets et débarrassés de l’excroissance. Bien sûr, cet exercice, d’une durée d’une ou deux minutes environ, doit être réitéré 2 fois par jour jusqu’à obtention de résultat.

Afin d’atteindre une efficacité maximum, il convient d’effectuer au préalable un exercice simple de mise en état sophronique alfa. Pour cela, on peut, en fermant les yeux, essayer de fixer un point au-dessus de la racine du nez pendant 2 minutes (au chrono). Il faut en fait regarder en l’air en louchant. Ceci est une botte secrète pour mettre rapidement le cerveau en onde alpha, état particulier qui donne accès au pouvoir intérieur par l’intermédiaire des ganglions para-vertébraux. Une mise en condition réflexe peut même être déclenchée par la suite, en accompagnant l’exercice d’un fond musical spécialement choisi, ou d’un parfum spécifique pour la circonstance (essence ou encens).

Enfin, lorsqu’il s’agit d’un problème interne, on a tout intérêt à consulter un bon atlas anatomique afin de bien se représenter l’image du site physiologique d’intervention.

Rappelez-vous que le taux vibratoire de la planète augmente sans cesse et de plus en plus vite. C’est un peu comme votre ordinateur quand il passe de 512 Mbits à 1024 – le rayonnement de la pensée augmente en conséquence dans le sens positif (régénération, guérison) comme dans le sens négatif (destruction). Ce qui marchait déjà bien dans le passé marche d’autant mieux maintenant.
À vous de jouer…

 

 

 (source : Michel Dogma)

La fin de vie : s’informer pour en parler

13 janvier 2020

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 La fin de vie : s’informer pour en parler

Le MOOC « La fin de vie : s’informer pour en parler » a été conçu pour un large public : professionnels de santé (qu’ils soient confrontés ou non à des situations de fin de vie), patients, proches, aidants, bénévoles, associations, etc.

Il ne vise pas à former des spécialistes de la fin de vie. Son objectif est de transmettre des informations factuelles, décrivant de façon précise le contexte législatif, les ressources à disposition en matière d’accompagnement en fin de vie, en particulier les ressources en soins palliatifs, quelques données médicales simples permettant à chacun de se repérer face à un symptôme et de réagir de façon plus éclairée, et tout autre élément permettant de faciliter le dialogue avec un proche malade, un patient ou dans le cadre d’un débat citoyen.

 

Pour cela, le contenu du cours s’articule autour de trois axes : le premier est mettre à disposition une information complète sur les droits et aides relatifs à la fin de vie en Francee ; le deuxième est d’aider à mieux comprendre les enjeux de la fin de vie en France et à l’internationals ; le troisième est de donner des clefs pour dialoguer avec les autres sur ce sujet que l’on soit patient, proche, médecin ou autre soignant..

https://www.fun-mooc.fr/courses/course-v1:spfv+171001+session01/about?fbclid=IwAR3PAFzzwnkoMd4iidEXkNiC5EpVqtzx_t0Cv4APaWTnvPm8RJuFh6dLRnA

 

Toucher et être touché

11 août 2019

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Toucher et être touché, c’est plus qu’un besoin biologique.
Au travers du toucher, nous pouvons aussi percevoir des émotions chez l’autre et lui apporter du soutien, du réconfort, de l’affection…

Toucher et être touché par les personnes que l’on aime, c’est plus qu’un besoin biologique.
C’est une part de notre langage qui nous permet de nourrir des besoins émotionnels et de valider l’affection.
D’éloigner les peurs, et de favoriser la sécrétion d’ocytocine. Lorsque l’on manque de cette proximité physique avec les autres, cela augmente les niveaux de stress. Et intensifie le mal-être physique.

massagejambes.jpg

La peau est notre organe sensoriel le plus étendu. Le toucher, de son côté, est le premier sens que nous acquérons avec l’odorat. Nous savons, de plus, que des pratiques comme le contact peau à peau avec les bébés (surtout auprès des prématurés) favorisent la structuration somatosensorielle de leurs cerveaux et optimisent ainsi leur développement cognitif, perceptif, social, mais aussi leur développement physique.

Les êtres humains, de même que les animaux, ont besoin de ce contact, et pas uniquement lors des phases de développement les plus précoces. Par exemple, dans beaucoup de maisons de retraite, les personnes âgées qui reçoivent des câlins, des caresses et ce contact physique inscrit dans les gestes d’affection présentent de meilleurs processus d’attention et de communication. De plus, elles se sentent moins fatiguées, et ressentent même de moindres douleurs articulaires.

Notre cerveau a besoin de ce type de contact (toujours apporté par les personnes nous sont chères) pour trouver cet équilibre émotionnel grâce auquel, tout simplement, favoriser le calme psychologique. Or, la science découvre aujourd’hui une multitude de processus associés au toucher dont nous ignorions l’existence il n’y a encore pas si longtemps.

Nous avons besoin de toucher et d’être touché pour communiquer notre affection, pour aider, pour recevoir ou pour réconforter… Nous le savons depuis toujours et la science nous l’a prouvé empiriquement au fil du temps. Or, il y a un aspect plus intéressant encore que nous aimerions souligner.

  • Matthew Hertenstein, psychologue de l’Université DePauw dans l’Indiana (Etats-Unis) a pu mettre au jour au travers d’une étude que nous sommes aussi capables de percevoir les émotions des autres au travers du toucher.
  • Matthew Hertenstein et son équipe ont mené cette étude en 2009. Un groupe de 248 personnes aux yeux fermés ont reçu des caresses d’étrangers pendant 5 secondes.
  • Tenez-vous bien : 75% de ces hommes et de ces femmes ont été capables d’identifier l’inquiétude, la peur, la tristesse, la haine, la sympathie, voire même le bonheur de la personne qu’ils avaient touchée.

Ce travail a acquis une telle transcendance que plus tard, il a de nouveau été mené à bien à l’Université de Miami. La docteure Tiffany Field, directrice de l’Institut de Recherche tactile de l’Université de Miami, en est arrivée aux conclusions suivantes.

 

Nous avons la capacité de donner, de recevoir et d’interpréter des signaux émotionnels au travers du toucher

 

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Un physiothérapeute utilise ses mains non seulement comme outil de travail, mais grâce à elles, il peut aussi lire les préoccupations, les tensions et les émotions adverses intensifiant les contractures. Ces mains expertes apaisent les douleurs et améliorent également la mobilité. Elles ont aussi la merveilleuse capacité de nous transmettre du bien-être.

  • Le besoin de toucher et d’être touché va-delà du fait de manifester de l’affection. Evolutivement, nous avons aussi acquis la capacité de lire l’état émotionnel des autres au travers du toucher. Une telle chose nous permet, surtout, de pouvoir soulager une personne qui souffre au travers d’un câlin ou d’une caresse.

Le cortex somatosensoriel primaire et son implication dans le toucher

Il n’y a encore pas si longtemps, les neurologues pensaient que le cortex somatosensoriel nous permettait de décoder des qualités aussi basiques que le fait de savoir si une superficie est douce ou rugueuse, si sa température est élevée ou basse… Or, au fur et à mesure que nous avançons dans la connaissance du sens du toucher lié aux émotions, nous découvrons plus d’informations.

Cette zone de notre cerveau est aussi liée à des composantes sociales et émotionnelles. Par exemple, elle nous aide à percevoir la tension ou l’inquiétude chez nos enfants et à chercher à nous rapprocher d’eux en les prenant dans nos bras. Au travers de ce contact, nous leur apportons du réconfort, de la sécurité et notre affection.

Michael Spezio, psychologue du Scripps College et auteur de cette étude, nous signale que le fait de toucher ne se résume pas seulement à une expérience physique ; c’est une expérience émotionnelle et un type de langage. Il s’agit d’un mécanisme nous permettant aussi de comprendre l’autre et de lui répondre sans avoir besoin de parler.

Le langage du toucher, un pouvoir à notre portée

Souvent, on entend dire qu’à l’âge adulte, on ne vit plus jamais autant d’expériences sensorielles au travers du toucher que dans l’enfance. Ainsi, des facteurs culturels et la façon dont nous avons été éduqués facilitent ou freinent notre capacité à mener ce type de communication au travers des caresses et des câlins à l’âge adulte.

On sait aussi que les sportifs, au sein de leur équipe, utilisent le toucher (une tape, une poignée de mains, une accolade) pour se soutenir à un moment donné entre co-équipiers. Ce sont des instants où ils ont besoin d’autre chose que d’un mot. Et ça fonctionne. Retrouver et favoriser ce type de langage est essentiel.

Car toucher et être touché va au-delà d’un besoin biologique. C’est un fondement social qui nous permet d’améliorer notre univers émotionnel.

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Source : https://nospensees.fr/toucher-et-etre-touche-bien-plus-quun-besoin-biologique

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