Il faut cliquer sur l’image pour lancer la vidéo :

11 mars 2020
Les industries pharmaceutiques connaissent depuis longtemps ce pouvoir quasi illimité de l’autosuggestion à la fois du patient et du soignant puisque les essais scientifiques comparatifs sont réalisés avec des flacons de produits codés afin d’éliminer toute influence psychique lors des expériences sur le vivant.
Au niveau des tests statistiques sur les malades-cobayes, l’on parle d’essais en double aveugle ou d’essais « randomisés ». Ceci veut dire que ni le soigné ni le soignant ne savent s’il s’agit d’un vrai remède ou d’un leurre.
Et, de fait, on note toujours un pourcentage de malades qui connaissent des améliorations ou carrément des guérisons avec des cachets d’amidon ou des ampoules d’eau distillée.
Ceci implique qu’avec des produits inefficaces – voire toxiques – des personnes, grâce à leur foi totale dans leur médecin et dans le remède, guérissent contre toute logique, et comme le clamait Molière, « surmontent à la fois la maladie et le médicament ».
Ici, c’est l’inverse. On est dans la croyance négative.
De la part du malade, ce peut être parce qu’il n’a pas confiance dans le soignant, ou parce qu’il ne croit pas au remède, ou parce que sa croyance est dans une fatalité morbide, ou encore parce que son intérêt réel ne réside pas dans la guérison, ou enfin parce que son chemin d’évolution passe par une épreuve de souffrance choisie par son Maître Intérieur.
Du côté du soignant, il est évident que si celui-ci voit son patient déjà mort, ou du moins dans une impasse sans issue classée dans les maladies dites inguérissables (il y en a même qui le disent sans ménagement), il devient l’exécuteur d’un « homicide par nocebo ».
En tout état de cause, il faut bien admettre que, lorsque dans le couple soigneur-soigné, l’un fait du placebo pendant que l’autre fait du nocebo, c’est une sorte de partie de bras de fer psychique – et… que le meilleur gagne !
Vous pouvez difficilement imaginer ce que l’on peut faire avec des croyances.
Tous les cours de développement personnel, que ce soit dans le domaine de la réussite professionnelle, des sports de haut niveau, de l’auto-guérisson, de l’amour ou de la prospérité en général, convergent sur un théorème de base :
L’imagerie mentale est déterminante dans tout processus de concrétisation.
Souvent, nous obtenons l’inverse de ce que nous recherchons. La raison est très simple. Nous programmons instinctivement, dans notre imagerie mentale, la scène de notre peur, de notre doute, de notre rejet, de notre échec. Notre ordinateur interne prend cela pour un ordre et… le réalise.
Exemple : Je souhaite bien dormir, mais je redoute le bruit parce que je me suis fabriqué un programme comme quoi le moindre bruit me réveille. Et ça marche. Il me suffit de corriger mon programme et de commander à mon ordinateur interne d’effacer les bruits éventuels en affirmant que je suis insensible aux bruits quand je dors.
Il suffit d’essayer pour être convaincu.
Lorsqu’il s’agit d’une tumeur, d’un kyste, ou toute excroissance à supprimer, l’imagerie mentale peut agir avec la même efficacité :
Il suffit d’imaginer un solvant puissant qui dissout sélectivement les tissus atypiques. Il faut minutieusement distiller ce solvant à l’aide d’un compte-gouttes à la surface de la formation tumorale. Celle-ci va fondre à la manière d’un morceau de sucre dans le café.
À la fin de l’exercice, on doit visualiser très clairement les tissus parfaitement nets et débarrassés de l’excroissance. Bien sûr, cet exercice, d’une durée d’une ou deux minutes environ, doit être réitéré 2 fois par jour jusqu’à obtention de résultat.
Afin d’atteindre une efficacité maximum, il convient d’effectuer au préalable un exercice simple de mise en état sophronique alfa. Pour cela, on peut, en fermant les yeux, essayer de fixer un point au-dessus de la racine du nez pendant 2 minutes (au chrono). Il faut en fait regarder en l’air en louchant. Ceci est une botte secrète pour mettre rapidement le cerveau en onde alpha, état particulier qui donne accès au pouvoir intérieur par l’intermédiaire des ganglions para-vertébraux. Une mise en condition réflexe peut même être déclenchée par la suite, en accompagnant l’exercice d’un fond musical spécialement choisi, ou d’un parfum spécifique pour la circonstance (essence ou encens).
Enfin, lorsqu’il s’agit d’un problème interne, on a tout intérêt à consulter un bon atlas anatomique afin de bien se représenter l’image du site physiologique d’intervention.
Rappelez-vous que le taux vibratoire de la planète augmente sans cesse et de plus en plus vite. C’est un peu comme votre ordinateur quand il passe de 512 Mbits à 1024 – le rayonnement de la pensée augmente en conséquence dans le sens positif (régénération, guérison) comme dans le sens négatif (destruction). Ce qui marchait déjà bien dans le passé marche d’autant mieux maintenant.
À vous de jouer…
(source : Michel Dogma)
13 janvier 2020
La fin de vie : s’informer pour en parler
Le MOOC « La fin de vie : s’informer pour en parler » a été conçu pour un large public : professionnels de santé (qu’ils soient confrontés ou non à des situations de fin de vie), patients, proches, aidants, bénévoles, associations, etc.
Il ne vise pas à former des spécialistes de la fin de vie. Son objectif est de transmettre des informations factuelles, décrivant de façon précise le contexte législatif, les ressources à disposition en matière d’accompagnement en fin de vie, en particulier les ressources en soins palliatifs, quelques données médicales simples permettant à chacun de se repérer face à un symptôme et de réagir de façon plus éclairée, et tout autre élément permettant de faciliter le dialogue avec un proche malade, un patient ou dans le cadre d’un débat citoyen.
Pour cela, le contenu du cours s’articule autour de trois axes : le premier est mettre à disposition une information complète sur les droits et aides relatifs à la fin de vie en Francee ; le deuxième est d’aider à mieux comprendre les enjeux de la fin de vie en France et à l’internationals ; le troisième est de donner des clefs pour dialoguer avec les autres sur ce sujet que l’on soit patient, proche, médecin ou autre soignant..
19 septembre 2019
Dans l’hôpital où je suis le lundi la journée de prévention est prévue lundi
« Nous savons que depuis une dizaine d’années, le nombre de morts inattendues du nourrisson stagne dans notre pays.
Encore environ 4 à 500 décès par an.
Cependant, une étude réalisée par l’INVS de 2007 à 2009 a montré que 100 à 150 de ces décès annuellement pourraient être évités.
A condition que parents et professionnels adoptent des conditions de couchage sans risque.
Nous constatons également qu’aucune campagne de prévention n’a été menée depuis maintenant 20 ans, par nos pouvoirs publics.
Cela a conduit l’ANCReMIN (Association Nationale des Centres de Références de la Mort Inattendue du Nourrisson) à se mobiliser.
Elle organise des actions nationales de prévention et renforce ainsi les actions menées dans ce sens depuis plus de 23 ans par l’association nationale Naître et Vivre. »
http://naitre-et-vivre.org/semaine-nationale-de-prevention-de-la-min-2019/
11 août 2019
Toucher et être touché, c’est plus qu’un besoin biologique.
Au travers du toucher, nous pouvons aussi percevoir des émotions chez l’autre et lui apporter du soutien, du réconfort, de l’affection…
Toucher et être touché par les personnes que l’on aime, c’est plus qu’un besoin biologique.
C’est une part de notre langage qui nous permet de nourrir des besoins émotionnels et de valider l’affection.
D’éloigner les peurs, et de favoriser la sécrétion d’ocytocine. Lorsque l’on manque de cette proximité physique avec les autres, cela augmente les niveaux de stress. Et intensifie le mal-être physique.
La peau est notre organe sensoriel le plus étendu. Le toucher, de son côté, est le premier sens que nous acquérons avec l’odorat. Nous savons, de plus, que des pratiques comme le contact peau à peau avec les bébés (surtout auprès des prématurés) favorisent la structuration somatosensorielle de leurs cerveaux et optimisent ainsi leur développement cognitif, perceptif, social, mais aussi leur développement physique.
Les êtres humains, de même que les animaux, ont besoin de ce contact, et pas uniquement lors des phases de développement les plus précoces. Par exemple, dans beaucoup de maisons de retraite, les personnes âgées qui reçoivent des câlins, des caresses et ce contact physique inscrit dans les gestes d’affection présentent de meilleurs processus d’attention et de communication. De plus, elles se sentent moins fatiguées, et ressentent même de moindres douleurs articulaires.
Notre cerveau a besoin de ce type de contact (toujours apporté par les personnes nous sont chères) pour trouver cet équilibre émotionnel grâce auquel, tout simplement, favoriser le calme psychologique. Or, la science découvre aujourd’hui une multitude de processus associés au toucher dont nous ignorions l’existence il n’y a encore pas si longtemps.
Nous avons besoin de toucher et d’être touché pour communiquer notre affection, pour aider, pour recevoir ou pour réconforter… Nous le savons depuis toujours et la science nous l’a prouvé empiriquement au fil du temps. Or, il y a un aspect plus intéressant encore que nous aimerions souligner.
Ce travail a acquis une telle transcendance que plus tard, il a de nouveau été mené à bien à l’Université de Miami. La docteure Tiffany Field, directrice de l’Institut de Recherche tactile de l’Université de Miami, en est arrivée aux conclusions suivantes.
Nous avons la capacité de donner, de recevoir et d’interpréter des signaux émotionnels au travers du toucher
Un physiothérapeute utilise ses mains non seulement comme outil de travail, mais grâce à elles, il peut aussi lire les préoccupations, les tensions et les émotions adverses intensifiant les contractures. Ces mains expertes apaisent les douleurs et améliorent également la mobilité. Elles ont aussi la merveilleuse capacité de nous transmettre du bien-être.
Le besoin de toucher et d’être touché va-delà du fait de manifester de l’affection. Evolutivement, nous avons aussi acquis la capacité de lire l’état émotionnel des autres au travers du toucher. Une telle chose nous permet, surtout, de pouvoir soulager une personne qui souffre au travers d’un câlin ou d’une caresse.
Il n’y a encore pas si longtemps, les neurologues pensaient que le cortex somatosensoriel nous permettait de décoder des qualités aussi basiques que le fait de savoir si une superficie est douce ou rugueuse, si sa température est élevée ou basse… Or, au fur et à mesure que nous avançons dans la connaissance du sens du toucher lié aux émotions, nous découvrons plus d’informations.
Cette zone de notre cerveau est aussi liée à des composantes sociales et émotionnelles. Par exemple, elle nous aide à percevoir la tension ou l’inquiétude chez nos enfants et à chercher à nous rapprocher d’eux en les prenant dans nos bras. Au travers de ce contact, nous leur apportons du réconfort, de la sécurité et notre affection.
Michael Spezio, psychologue du Scripps College et auteur de cette étude, nous signale que le fait de toucher ne se résume pas seulement à une expérience physique ; c’est une expérience émotionnelle et un type de langage. Il s’agit d’un mécanisme nous permettant aussi de comprendre l’autre et de lui répondre sans avoir besoin de parler.
Souvent, on entend dire qu’à l’âge adulte, on ne vit plus jamais autant d’expériences sensorielles au travers du toucher que dans l’enfance. Ainsi, des facteurs culturels et la façon dont nous avons été éduqués facilitent ou freinent notre capacité à mener ce type de communication au travers des caresses et des câlins à l’âge adulte.
On sait aussi que les sportifs, au sein de leur équipe, utilisent le toucher (une tape, une poignée de mains, une accolade) pour se soutenir à un moment donné entre co-équipiers. Ce sont des instants où ils ont besoin d’autre chose que d’un mot. Et ça fonctionne. Retrouver et favoriser ce type de langage est essentiel.
Car toucher et être touché va au-delà d’un besoin biologique. C’est un fondement social qui nous permet d’améliorer notre univers émotionnel.
Source : https://nospensees.fr/toucher-et-etre-touche-bien-plus-quun-besoin-biologique
7 août 2019
Les choses bougent et j’aime ça
Le Ministère de la Santé à organisé une journée sur la pleine conscience !
3 heures le matin et pareil l’après midi.
Colloque du Jeudi 20 juin de 09h30 à 17h30
Salle Pierre Laroque
Ministère des Solidarités et de la Santé
14 avenue Duquesne
75007 Paris
Le programmeAnimation du colloque : Élisabeth Marshall, journaliste santé et bien-être
08h45 - Accueil
09h30 - Discours officiel d’ouverture
Jérôme Salomon, directeur général de la santé
10h00 – Fondements scientifiques de la méditation de pleine conscience, mécanismes et perspectives aujourd’hui
Judson Brewer, directeur de la recherche et de l’innovation au Mindfulness Center, professeur associé au département des sciences sociales et du comportement à Brown University – School of Public Health
10h55 – Pause méditative et échanges
Christophe André, psychiatre et psychothérapeute
11h15 - Les programmes fondateurs et leurs dérivés
Jean-Gérard Bloch, professeur conventionné à l’université de Strasbourg, docteur en médecine, spécialiste en rhumatologie, pôle santé initiative Mindfulness France
12h10 - Présentation de l’état des lieux et de l’initiative Mindfulness France
Audrey Berté, co-fondatrice et présidente initiative Mindfulness France
Jean-Gérard Bloch, professeur conventionné à l’université de Strasbourg, docteur en médecine, spécialiste en rhumatologie, pôle santé initiative Mindfulness France
Véronique Riotton, vice-présidente du groupe LREM à l’Assemblée Nationale
12h40 Déjeuner libre
14h00 - Table ronde : exemple d’interventions dans les différents milieux de vie
Education : Frédéric Lenoir, philosophe, président de la Fondation Sève ; Jean-Philippe Lachaux, neurobiologiste, chercheur en neurosciences cognitives, directeur de recherche CNRS, laboratoire Dynamique cérébrale et cognition
Justice : Betsy Parayil-Pezard, co-fondatrice de Mindfulness Solidaire
Travail : Dominique Steiler, titulaire de la chaire « Paix économique, Mindfulness et Bien-être au travail »
à Grenoble Ecole de Management
Santé : Corinne Isnard-Bagnis, médecin néphrologue à l’hôpital de la Pitié Salpétrière, professeur à l’université
Pierre et Marie Curie
Vieillissement : Gael Chételat, directrice de laboratoire à l’INSERM Caen, responsable de l’équipe de recherche
« Neuroimagerie multimodale et facteurs de vie dans le vieillissement normal et les démences »
Conclusion par le grand témoin : Christophe André
15h35 - Table ronde : les enjeux éthiques / qualité / formation
Anne Josso, secrétaire générale de la Miviludes
Geneviève Hamelet, présidente de l’Association pour le développement de la pleine conscience
Dominique Steiler, titulaire de la chaire « Paix économique, Mindfulness et Bien-être au travail » à Grenoble Ecole
de Management
Corinne Isnard-Bagnis, médecin néphrologue à la Pitié Salpêtrière, professeur à l’université Pierre et Marie Curie
Michael Vin, médecin généraliste, Centre Hospitalier Jean-Pierre Falret, Institut Camille Miret
Conclusion par le grand témoin : Christophe André
16h55 - Présentation à plusieurs voix – projet territorial pour un épanouissement global :
pleine conscience et paix économique
Thomas Michaud, sous-préfet de l’Isère,
Fany Allarousse, directrice générale de la Communauté de commune des Vals de Dauphiné,
Dominique Steiler, titulaire de la chaire « Paix économique, Mindfulness et Bien-être au travail » à Grenoble Ecole de Management
17h15 - Discours officiel de clôture
Sylvie Quelet, directrice de la Direction de la prévention et de la promotion de la santé à Santé publique France
17h30 – Fin du colloque
Le site est super bien fait, vous pouvez aller regarder le programme, et le fait de cliquer dessus amène la vidéo au moment choisi
(ce qui permet de ne visionner que ce qui nous intéresse)
Voici les liens :
Le matin —— https://solidarites-sante.gouv.fr/actualites/evenements/article/interventions-basees-sur-la-pleine-conscience-sciences-sante-et-societe-lever?fbclid=IwAR3uTfu_3CrZX-NE8pptWf0xiXWACayg-RrHf4fo668skiJuqAWI6xFW644
L’après-midi —— https://secure.synople.tv/site/MinisteresSociaux/2019/evtMS_190620pm.php
19 mars 2019
le 6ème congrès de socio-esthétique organisé par le CODES aura lieu le vendredi 22 novembre 2019 à L’institut Pasteur à Paris.
Ce sera aussi l’occasion pour le CODES de fêter ses 40 ans !
Réservez dès aujourd’hui cette journée riche de découvertes thématiques, de partage sur les bonnes pratiques professionnelles et de rencontres passionnantes avec de nombreux professionnels.
http://www.socio-esthetique.fr/congres-codes-prog2019.php
Une journée consacrée à des échanges entre professionnels de la socio-esthétique autour de thématiques clés pour la profession.
9h30 – 10h00 | Café d’accueil |
10h00 – 10h15 | Ouverture du 6ème congrès de socio-esthétique |
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10h20 – 11h00 | Intervention grand témoin : Humanité et éthique dans l’accompagnement des personnes handicapées |
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11h00 – 12h00 | Quel accompagnement socio-esthétique pour les personnes en situation de handicap ? |
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12h15 – 12h30 | Codes Japon : Les grandes actualités |
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12h30 – 14h00 | Déjeuner – Stands – Echanges |
14h00 – 14h30 | Accompagnement psychologique et soins socio-esthétiques |
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14h30 – 15h30 | La socio-esthétique au service du bien vieillir |
En EHPAD (Etablissement d’hébergement pour personnes âgés dépendantes) :
Au domicile :
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15h30 – 16h00 | Pause – Stands |
16h00 – 17h00 | Socio-esthétique et précarité |
16h00 – 16h15Introduction
16h15 – 17h00
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17h00 – 17h30 | Socio-esthétique et insertion sociale et professionnelle des jeunes adultes |
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17h30 – 17h45 | Conclusion |
2 février 2019
L’auto-examen, souvent mis en avant dans les différentes campagnes de prévention, permet aux femmes de détecter des anomalies pour les signaler par la suite à leur médecin.
Le cancer du sein a 12 symptômes.
Quand ils sont détectés à temps, le taux de survie est proche de 100%
L’association Worldwide Breast Cancer a imaginé une campagne de communication internationale qui détourne des citrons pour sensibiliser au cancer du sein.
Du génie !
Lorsque le cancer du sein est détecté à un stade précoce, le taux de survie est proche de 100%.
Mais lorsqu’il est identifié en phase terminale, les chances de survie sont malheureusement très faibles.
C’est pourquoi il est important de pouvoir détecter un symptôme du cancer du sein dès le début.
14 mars 2020
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