BEAUTÉ VINTAGE
Un spa dans les années 60…
Source- facebook
28 mars 2017
« LE MONDE EN FACE - Mon fils, un si long combat » mardi 28 mars 20.50
Ce soir à partir de 20h50, Le Monde en face se consacre au combat des familles d’autistes, à travers des témoignages de parents, pour essayer de faire changer le regard que nous portons sur ce handicap
A ne pas rater à la veille de la journée mondiale de sensibilisation à l’autisme qui aura lien le 2 avril !
«Samy, mon fils, est un garçon de huit ans qui ne parle pas, marche avec difficulté, n’est pas propre et ne communique que très peu. Autisme, épilepsie et tant d’autres maladies que j’ai eu tant de mal à accepter… À travers son handicap, j’ai découvert une société mal adaptée, frileuse et souvent peureuse : l’école qui n’en veut plus, les professionnels qui refusent de le soigner, le regard des autres, les institutions inadaptées… Samy est donc un combat de tous les jours, juste pour qu’il ait cette petite dose de bonheur à laquelle on a tous le droit, un peu de dignité et une vie de famille correcte avec son grand frère Marco, que je délaisse parfois. Mais, peu à peu, le quotidien a eu raison de moi. Huit ans de lutte pour que mon enfant grandisse comme tous les autres m’ont épuisés. Serait-il temps de m’en séparer ?»
Églantine Eméyé.
Documentaire.
Durée 52′.
De Églantine Eméyé et Olivier Pighetti.
Produit par Piments Pourpres Productions.
Avec la participation de France Télévisions, du CNC, de la Procirep et de l’Angoa.
Après le documentaire, Marina Carrère d’Encausse propose un débat avec ses invités.
Ils sont près de 650 000 en France et pourtant ils sont encore aujourd’hui presque invisibles !
On ne les rencontre que rarement à l’école, dans les centres de loisirs, les salles de sport, dans le métro, les magasins ou les entreprises.
Ces invisibles ce sont les personnes atteintes d’autisme, ou de troubles du spectre autistique selon l’expression consacrée.
Pourtant l’autisme n’est plus un tabou, les médias en parlent de plus en plus. Le 2 avril prochain aura lieu la journée mondiale de sensibilisation à l’autisme.
Depuis quelques années les choses bougent, on est sorti de l’indifférence et de l’immobilisme mais la France peine à rattraper son retard et l’autisme reste encore entouré de méconnaissances et de préjugés. Le combat des familles est à l’honneur cette semaine dans « Le monde en face ».
*** Intervenants ***
Bruno Wolkowitch, comédien, engagé depuis longtemps pour la prise de conscience des difficultés des familles d’enfants autistes ainsi que des enfants et des adultes atteints d’autisme. Parrain de l’association SOS Autisme France.
Laurent Savard, papa de Gabin 14 ans, autiste sévère, non verbal. Il vient de publier Gabin sans limites aux éditions Payot. Et pour exorciser les difficultés du quotidien, il a créé un one-man show intitulé « Le bal des pompiers » qu’il joue occasionnellement.
Olivia Cattan, présidente de SOS Autisme et maman de Ruben, 11 ans autiste sévère, aujourd’hui scolarisé en CM2 dans une école publique à Paris.
Sophie Janois, avocate spécialisée dans la défense des familles d’autistes, d’enfants et d’adultes autistes.
« À travers son handicap, j’ai découvert une société mal adaptée, frileuse et souvent peureuse. »
Eglantine Éméyé
Laurent Savard
Ed. Payot (2017)
Gabin a deux ans et demi et il ne parle toujours pas. La pédiatre ne s’inquiète pas pour lui. « Peut-être n’a-t-il rien à dire ? » suggère-t-elle. Humour pédiatrique… Elle prend Gabin et le pose sur la balance. « Alors, voyons voir combien tu pèses. Non, mon lapin, arrête de bouger. Ah, un futur sportif, l’animal ! À la louche, on va dire douze kilos cinq. Allez, treize, ça porte bonheur ! »
Un fils autiste, un père artiste, et le livre de leur vie. Drôle, tendre, grinçant, zébré de poésie et d’énergie. Bourré d’amour. Laurent Savard et Gabin y mettent le feu aux préjugés.
25 mars 2017
Parfois, après une longue journée épuisante, on a juste envie de se relaxer, de se détendre dans un bain ou de se faire masser. Pour les bébés, c’est pareil ! C’est pourquoi un salon de massage a lancé un concept pour le moins original : ses thérapeutes ne servent que les clients âgés de moins de six mois !
Le Baby Spa Perth offre non seulement des massages spéciaux, mais également des bains et des soins d’hydrothérapie de haut vol ! surtout, les photos sont trop mignonnes : attention, vous allez craquer !
C’est à Perth, en Australie, que se trouve le Baby Spa : un salon de massage spécialement dédié, vous l’aurez deviné…. aux bébés !
Il s’agit du tout premier salon de ce type en Australie ! Ici, les bébés peuvent baitfoler librement dans l’eau et barbotter en toute sécurité
Cette bouée spéciale est une invention exclusive et brevetée par le centre : le Bubby !
Cette ambiance permet aux bébés et à leurs parents de jouer, de se relaxer et de créer un lien émotionnel dans un cadre relaxant et sécurisé
Non seulement c’est vraiment trop mignon… Mais c’est également excellent pour la santé des nouveaux-nés !
Les bébés peuvent bouger librement dans l’eau, ce qui les aide à développer les muscles, fortifier les os et à les préparer à faire leurs premiers pas !
Bien sûr, ils peuvent aussi se détendre…
Hé oui ! ce n’est pas facile tous les jours d’être un humain miniature en plein développement !
Ici, tout le monde est aux petits soins pour eux
L’eau est nettoyée à l’ozone, ce qui permet de détruire efficacement les bactéries tout en étant sans danger pour les bébés
Ce concept de spas pour bébés est juste génial ! Si le Baby Spa Perth est le tout premier établissemet de ce genre en Australie, il existe également des spas pour bébé au Royaume-Uni, en Espagne ou encore en Afrique du Sud…
Parfait pour buller en paix lorsqu’on est un bébé !
18 mars 2017
(Dessin fait par Angelina le 13.03.2017 lendemain du week-end chez Mr)
=> Ensemble c’est tout pour Angelina – La page Facebook
Je suis actuellement les problèmes que rencontre la marraine et tante d’une petite fille pour la protéger d’un monstre. Il l’ a un weekend de 2 nuits par mois ainsi qu’une journée complète sans aucune surveillance… Cette petite fille qui n’aurait plus dû être en contact avec son agresseur depuis juin 2016 est toujours à sa merci. Sandrine sa tante vas commencer une grève de la faim lundi 27 mars sous la Tour Eiffel (lieu préféré d’Angelina) afin que sa voix soit enfin entendue par la « Justice. » Je pensais naïvement qu’une petite fille dénonçant son agresseur était immédiatement entendue et que les visites à l’agresseur (présumé tant qu’il n’y a pas de jugement) seraient suspendues jusqu’à éclaircissement de l’affaire. Et bien non ! (Si celui-ci a des relations ) J’écris donc cet article pour noter toutes les idées de contacts afin que les PROTECTEURS puissent eux protéger quand la Justice ne le fait pas…
- http://dondevamos.canalblog.com
- Violences familiales : ces enfants sacrifiés par la justice
Et puis il a des livres très souvent autobiographiques…
9 mars 2017
Si la peau des acnéiques vieillit mieux que celles qui en ont été épargnées, c’est à cause de la génétique.
Une étude britannique démontre que les extrémités des chromosomes, les télomères, des globules blancs, sont plus longs chez les acnéiques, ce qui se traduit par un moindre vieillissement des cellules.
20 janvier 2017
Les Assises de la recherche et de l’innovation sociale POUR RELEVER LE DÉFI DU VIEILLISSEMENT COGNITIF les 7 et 8 mars 2017 à Paris (Maison de la Chimie) Entrée gratuite sur inscription (obligatoire) | ||||
POUR LES INSCRIPTIONS CLIQUEZ ICI | ||||
LANCEMENT DE LA CONSULTATION & AVANT-PROGRAMMELa Fondation Médéric Alzheimer organise avec le soutien de la Fondation de France :
Les Assises de la recherche et de l’innovation sociale POUR RELEVER LE DÉFI DU VIEILLISSEMENT COGNITIF les 7 et 8 mars 2017 à Paris (Maison de la Chimie) Entrée gratuite sur inscription (obligatoire) L’ambition de ces Assises est de réunir tous les acteurs concernés par le vieillissement cognitif – professionnels de terrain qui expérimentent de nouvelles réponses d’accompagnement, chercheurs, personnes en difficulté cognitive, proches aidants, bénévoles, décideurs, financeurs – pour déterminer ensemble quelles expérimentations de terrain, quels programmes de recherche et quelles stratégies de dissémination il est urgent de mettre en œuvre pour améliorer l’accompagnement des personnes en difficulté cognitive et de leurs proches, dans le respect de leur citoyenneté et de leur dignité. |
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Pour que ces Assises et le Livre Blanc qui en découlera soient porteurs de l’expérience, de l’expertise et de l’inventivité de toutes celles et ceux qui font dès aujourd’hui bouger les lignes, UNE LARGE CONSULTATION EST LANCÉE : Professionnels, bénévoles, chercheurs, personnes en difficulté cognitive, aidants, décideurs, etc. NOUS AVONS BESOIN DE VOUS pour déterminer quelles connaissances manquent, quelles réponses expérimenter, quelles solutions valoriser et disséminer. NOUS VOUS REMERCIONS PAR AVANCE du temps (15 minutes environ) que vous voudrez bien consacrer à répondre à cette consultation. Sachez que votre contribution servira à préparer les Assises des 7 et 8 mars, et alimentera le Livre Blanc qui en résultera. Attention, cette consultation n’est ouverte que jusqu’au 10 février 2017. | ||||
AVANT PROGRAMME Maison de la Chimie, 28 rue Saint-Dominique, 75007 Paris Entrée gratuite sur inscription (obligatoire) Mardi 7 mars 2017 09h30-10h00 – Accueil 10h00-12h30 - Session plénière Pourquoi le vieillissement cognitif constitue-t-il un défi pour notre société ? Comment la recherche et l’innovation sociale peuvent-elles contribuer à le relever ? Avec : Bruno Anglès d’Auriac (Fondation Médéric Alzheimer), Philippe Lagayette (Fondation de France, Fondation Plan Alzheimer, sous réserve), Michel Clanet (Comité de suivi du Plan Maladies neurodégénératives), Jean-Marie-Robine (INSERM), Agnès Gramain (Université de Lorraine), Philippe Amouyel (Fondation Plan Alzheimer), John Zeisel (Hearthstone Assisted Living Residences, États-Unis)… 14h00-16h00 - Ateliers en parallèle Quelles recherches & quelles expérimentations de terrain pour que les personnes en difficulté cognitive et leurs proches aidants puissent bénéficier : Atelier 1 – De soins de santé adaptés et accessibles Atelier 2 – D’interventions non médicamenteuses ayant fait la preuve de leur efficacité Atelier 3 – D’un cadre de vie sécurisant et d’activités porteuses de sens Atelier 4 – D’une société sensibilisée, accueillante et à l’écoute Atelier 5 – D’une nouvelle alliance entre recherche biomédicale et recherche en sciences humaines 16h30-18h30 - Ateliers en parallèle Quelles recherches & quelles expérimentations de terrain pour que les personnes en difficulté cognitive et leurs proches aidants puissent bénéficier : Atelier 6 – De proches, de professionnels et de bénévoles compétents et soutenus Atelier 7 – De réponses adaptées aux besoins et aux attentes Atelier 8 – De dispositifs coordonnées et accessibles sur tous les territoires Atelier 9 – D’une réponse sociétale solidaire et respectueuse des droits Atelier 10 – De technologies, objet de la recherche et l’innovation sociale. Atelier organisé avec le soutien de La Fondation de l’Avenir Mercredi 8 mars 2017 08h30-10h15 - Session plénière Synthèse et mise en perspective des travaux en ateliers par de grands témoins (1/2) Comment évaluer de manière rigoureuse et adaptée l’impact des actions ? Comment disséminer les savoirs et les réponses qui ont fait la preuve de leur pertinence ? Avec : Joël Ankri (Comité de suivi du Plan maladies neurodégénératives), Johanna Mello (Université catholique de Louvain), Sandra Bertezene (Conservatoire national des arts et métiers), Marie-Christine Gély-Nargeot (Université de Montpellier), Jean-Philippe Flouzat (ARS IDF), Pascal Dreyer (Leroy Merlin Source)… 10h45-12h30 - Session plénière Synthèse et mise en perspective des travaux en ateliers par de grands témoins (2/2) Associer des personnes en difficulté cognitive et des proches aidants à la recherche et à l’innovation sociale : Pour quoi ? Comment ? Avec quelle vigilance éthique ? Avec : Emmanuel Hirsch (EREMAND), Jean-Luc Novella (CHU de Reims), Marie-Eve Joël, (Université Paris-Dauphine), Anne Caron-Déglise (Cour d’appel de Versailles), Olivier Guérin (France Silver Éco), John Keady (Université de Manchester), Jean-Luc Noël (Comité Personnes âgées, Fondation de France) 14h00-16h30 – Session plénière Comment promouvoir la participation de professionnels de terrain à la recherche ? Vers une coalition des acteurs en faveur de la recherche et de l’innovation sociale Avec : Gérard Hermant (Institut supérieur de rééducation psychomotrice), Monique Rothan-Tondeur (Chaire recherche en sciences infirmières, Université Paris 13), Françoise Zantman (AP-HP), Patrice Bourdelais (Institut des sciences humaines du CNRS), Federico Palermiti (Association monégasque pour la recherche sur la maladie d’Alzheimer)… ——————————————————————- Le Comité de pilotage des Assises est composé de représentants de : AGIRC-ARRCO, Association France Alzheimer, CNAV, CNSA, Fondation de France, Fondation Plan Alzheimer, Fondation de l’Avenir |
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En partenariat avec | ||||
16 janvier 2017
Ni photoshop, ni bistouri.
Juste de la confiance en soi associée aux disciplines traditionnelles :
maquillage, stylisme, coiffure…
Bogomolov est bluffant.
En somme, on naît belle mais on ne le devient pas.
Vous n’y croyez pas ?
Eh bien vous avez parfaitement raison !
La preuve avec ce superbe projet photographique signé Konstantin Bogomolov !
Étonnant, non ?!
On aime ou on n’aime pas ces transformations. A la rigueur, peu importe. Mais ce qui compte, c’est ce qu’elles démontrent : on peut faire correspondre la personne qu’on est avec l’image qu’on veut donner. Pourvu qu’on ait confiance en soi !
Les véritables reines du Shopping, ce sont elles !
Source : http://positivr.fr/chaque-femme-est-une-reine-konstantin-bogomolov-photos-transformation/
26 décembre 2016
est installé au 73, rue du Faubourg Saint-Honoré à Paris
Le premier musée du genre dans la capitale française espère attirer au moins 300 000 visiteurs dès 2017.
Le musée a trouvé son écrin près de l’Elysée, là où Christian Lacroix avait installé sa maison de couture, dans un hôtel particulier du XIXe siècle et son jardin, entièrement rénovés. Le musée a accepté une mission impossible : exposer les odeurs, pourtant invisibles. Guillaume de Maussion, président et fondateur du Grand Musée du parfum explique que « l’’idée est de faire prendre conscience aux visiteurs de l’importance des odeurs dans la vie quotidienne ».
C’est là où l’on parle le moins de parfum, on parle de plaisir olfactif
Guillaume de Maussion, président du Grand Musée du Parfum à franceinfo
La visite commence par solliciter un autre sens : la vue. « C’est un peu le jardin d’Alice au pays des merveilles », décrit le maître des lieux, en montrant de grandes fleurs en Corian qui diffusent une odeur à l’approche du visiteur : « Ce peut être l’odeur du basilic, de la framboise, du chocolat… »
Au visiteur de deviner et d’enregistrer les découvertes appréciées, qu’elles soient fraîches, vertes, boisées. À l’aide de cette première approche, les curieux de l’odeur suivront le sillage des parfums. On est encore loin du flacon, une affaire personnelle. « Le choix final relève de l’émotion ».
En déambulant sur les trois niveaux du musée, 70 odeurs se présentent à la découverte. Ce sont des senteurs sèches, sans alcool, qui n’ont rien à voir avec une parfumerie. Au sous-sol, on remonte le temps avec des odeurs ancestrales comme le Kyphi de l’Egypte des pharaons, sans doute le premier parfum de l’humanité, ou la myrrhe, qui fait référence aux rois mages. Deux étages plus haut, ce sont des senteurs professionnelles, les outils des « nez », comme Anne Flipo, qui exerce le métier de parfumeur. Elle a créé, entre autres, « La vie est belle » de Lancôme, « L’homme » d’Yves Saint Laurent, « Love story » de Chloé ou encore « Lady Million » de Paco Rabanne.
La spécialiste présente une sorte d’orgue de parfumeur, offert au visiteur. Le nez travaille en humant des gouttes. L’oreille est ensuite sollicitée par des mots placés sur l’odeur, pour vous expliquer par exemple la découverte de « l’absolu jasmin ».
Des moments magiques, pour cette spécialiste : « C’est l’occasion de découvrir 25 des plus importantes matières premières de la parfumerie. »
On travaille avec des ingrédients fantastiques, qui font rêver : la fleur d’oranger, le jasmin, le patchouli qui vous fait voyager.
Anne Flipo, parfumeurà franceinfo
La découverte pourrait susciter des vocations. Combien de temps faut-il pour devenir parfumeur ? « À peu près dix ans », reconnaît la créatrice. Le parfumeur est-il un nez solitaire ? Pas forcément, il faut parfois unir les talents pour donner vie à un projet. « Pour ‘La vie est belle’ de Lancôme, nous avons travaillé à trois, raconte Anne Flipo. Le projet a duré trois ans et nous avons fait 5 500 essais ».
Roland Salesse, neurobiologiste, est également chercheur à l’Institut national de la recherche agronomique (Inra), où il a créé, il y a 15 ans, l’unité de neurobiologie de l’olfaction. Pour ce spécialiste, l’odorat constitue le sens des émotions par excellence. « Dès qu’on a senti un produit quelconque, le cerveau traite très rapidement le message nerveux généré. On réveille donc les émotions et les souvenirs, avant même de savoir ce que l’on a senti. »
C’est le fameux effet de la madeleine de Proust. On est ému, on est bouleversé avant même de savoir ce qui s’est passé.
Roland Salesse, neurobiologisteà franceinfo
Les parfumeurs-créateurs ont-ils un don ? Selon Roland Salesse, « une zone du cerveau, le cortex orbitofrontal, centre de la conscience des odeurs, est plus épais chez les parfumeurs que parmi la population de référence ». N’est sans doute pas « nez » qui veut, mais des talents ou des prédispositions pourraient être cachés, faute d’avoir été stimulés. Le scientifique regrette que le sens de l’odorat ne soit pas sollicité : « Tout le monde a du nez, mais on ne le cultive pas. Dans la petite enfance, il n’y pas d’éducation olfactive, ce qui est un manque important. »
Le Grand Musée du Parfum compte bien stimuler la perception des odeurs, en toute neutralité, puisque toutes les marques, sans préférence commerciale, se sont penchées sur son berceau.
Source :
http://www.francetvinfo.fr/culture/ouverture-du-grand-musee-du-parfum-un-parcours-ludique-et-professionnel-par-le-bout-du-nez_1978537.html#xtor=AL-85
http://www.grandmuseeduparfum.fr/
7 décembre 2016
M. Jean-Marie Bockel attire l’attention de M. le ministre du travail, de l’emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social sur la situation de l’activité du massage bien-être en France. Ce secteur est structuré depuis plusieurs années sous l’impulsion de la fédération française de massages-bien-être. Or, de nombreux praticiens en massages-bien-être font régulièrement l’objet de tracasseries administratives. Celles-ci demeurent fortement préjudiciables pour l’économie de ce secteur et son développement. En cause, une interprétation restrictive de l’article R. 4321-3 du code de la santé publique qui définit par ailleurs le cadre d’intervention d’une autre profession, celle des masseurs-kinésithérapeutes: « On entend par massage toute manœuvre externe, réalisée sur les tissus, dans un but thérapeutique ou non […] ».
Depuis plusieurs années, la fédération française de massages bien-être (FFMBE) demande la reconnaissance des massages « bien-être » comme outil de relaxation et de détente, sans aucun but thérapeutique ni médical. En conséquence, une inscription au répertoire national des certifications professionnelles (RNCP) du titre de « praticien en techniques corporelles de bien-être » permettrait à la profession de se développer sans restriction, ni tracasserie et au grand public d’avoir accès au massage-bien-être dans un cadre reconnu et structuré. C’est pourquoi il lui demande de bien vouloir préciser dans quel délai il compte lever les obstacles à cette reconnaissance.
Transmise au Ministère des affaires sociales et de la santé
L’article 123 de la loi de modernisation de notre système de santé du 26 janvier 2016 a précisé la définition de la profession de masseur-kinésithérapeute et a également défini l’exercice illégal de cette profession. Ces nouvelles précisions, concertées avec les professionnels, ont également eu pour effet de supprimer la notion de « massage » de la définition de la profession de masseur-kinésithérapeute. Cette évolution législative conforte et recentre le masseur-kinésithérapeute dans son rôle essentiel de professionnel de santé de la rééducation. Dans ce sens, et après une nécessaire évolution de la mention inscrite dans le décret d’actes, la compétence exclusive du masseur-kinésithérapeute en matière de massage de rééducation thérapeutique pourra être réglementairement affirmée. Le massage non thérapeutique dont l’objectif premier est d’apporter un bien-être à la personne, pourra être réalisé au regard de la nouvelle rédaction législative du code de la santé publique, par un professionnel qui ne dispose pas du titre de masseur-kinésithérapeute. Ces éclaircissements réglementaires adoptés, il appartiendra à la commission nationale de la certification professionnelle compétente de se prononcer sur l’inscription du titre de « praticien en technique corporelle de bien-être » au regard des formations dispensées.
Source : https://www.senat.fr/questions/base/2015/qSEQ150617038.html
6 mai 2017
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